Liam - "No this is not beverly hills cop but the cop Adelaide"

« Je n’ai eu que deux grandes histoires d’amour et Liam était l’un d’elles. Tout était si naturel entre nous, notre manière de nous regarder, de nous sourire, les discussions interminables qui nous faisaient veiller jusqu’à tard et… le sexe. J’étais heureuse et j’y croyais à notre relation. Quand il m’a demandé en mariage à peine deux ans après notre première rencontre j’ai tout de suite dit oui, ne me rendant pas compte que nous allions trop vite. Pour notre mariage, nous avons contacté une agence qui s’occupait de tout organiser. Jules était parfaite, toujours là pour combler nos moindres petits désirs. C’est si vrai que la veille du mariage je l’ai retrouvée au lit avec mon futur mari. Ce fut un choc pour moi. Je suis partie et j’ai coupé les ponts avec Liam. Cela fait maintenant un an que notre mariage a été annulé et j’ai eu le temps de prendre du recul. Bien sûr que je le déteste et que je ne lui pardonnerais pas, mais je le comprends. Je ne sais pas si nous aurions été heureux ensemble, il était trop tôt pour s’engager. Qui sait ? Si ça n’avait pas été lui qui m’avait fait ça, peut-être que ça aurait été le contraire. »

« Quand j’ai rencontré Jules, je l’ai tout de suite appréciée. Elle a toutes les qualités requises pour faire une bonne organisatrice de mariage. Pour moi, il était certain qu’elle deviendrait une pointure dans ce domaine. La seule chose que je lui reprocherais dans l’organisation de mon mariage c’est d’avoir couché avec mon futur mari, mais ce n’est rien n’est-ce pas ? Quand je les ai vu dans les bras l’un de l’autre quelque chose s’est brisée en moi. Ce n’était tout simplement pas possible. Cela fait un an maintenant et j’ai appris qu’elle avait ouvert sa propre société d’organisation de mariage. Depuis que je sais ça, je m’y intéresse de plus près. J’ai demandé à certains contacts de me rencarder, au moindre faux pas je rendrais heureux mon rédacteur en chef en incendiant une toute nouvelle célébrité et en la faisant détester. Qui a dit que je n’étais pas rancunière ? »